Profil de projet — Moyens de subsistance numériques : les jeunes et l’avenir du travail à grande échelle

• Kenya (25,00%)
• Malawi (3,28%)
• Tanzanie (21,94%)
• Sénégal (1,11%)
• Rwanda (25,00%)
• Zambie (3,28%)
• Ghana (4,00%)
• Jordanie (15,28%)
• Maroc (1,11%)

• Gouvernement et société civile, général : Participation démocratique et société civile (15150) (25,00%)
• Infrastructure et services sociaux divers : Politique de l'emploi et gestion administrative (16020) (25,00%)
• Communications : Technologies de l'information et de la communication (TIC) (22040) (25,00%)
• Entreprises et autres services : Services et institutions de soutien commerciaux (25010) (25,00%)

• Égalité entre les sexes (objectif significatif)
• Durabilité de l'environnement (thème transversal) (objectif significatif)
• Développement participatif/Bonne gouvernance (activité non orientée)
• Développement du commerce (activité non orientée)
• Biodiversité (activité non orientée)
• Changement climatique (activité non orientée)
• Adaptation au changement climatique (activité non orientée)
• Questions urbaines (activité non orientée)
• Désertification (activité non orientée)
• Questions touchant les enfants (activité non orientée)
• Questions touchant les jeunes (objectif principal)
• Questions touchant les Autochtones (activité non orientée)
• Questions touchant les personnes handicapées (activité non orientée)
• Les TIC comme outils de développement (objectif significatif)

Ce projet vise à élargir les programmes d’autonomisation économique de Digital Opportunity Trust (DOT). Ces programmes portent entre autres sur l’innovation sociale, l’entrepreneuriat, les technologies de l’information et des communications, l’autonomisation et le développement des compétences de leadership. Ils visent egalement à aider 200 000 jeunes hommes et femmes à acquérir des aptitudes entrepreneuriales et professionnelles pour augmenter leurs revenus et accroître leurs perspectives d’emploi. Parmi les activités du projet : 1) recruter des jeunes afin qu’ils suivent une formation en leadership; 2) mettre en œuvre des programmes d’entrepreneuriat, de technologies de l’information et des communications et de préparation de la main-d’œuvre; 3) élaborer et organiser une formation d’auto-apprentissage en ligne pour les jeunes. Les responsables du projet Moyens de subsistance numériques prévoient réaliser une étude et élaborer un modèle favorisant l’élargissement des réseau, Celui-ci permettra de recruter et d’autonomiser des institutions et des équipes de jeunes chefs de file afin qu’ils génèrent des résultats durables dans leurs pays. Le modèle d’élargissement des réseaux de DOT pourrait s'avérer une approche novatrice et efficace qui permettrait de mettre en œuvre des programmes à grande échelle, d’adopter des outils numériques pertinents et de tirer parti de partenariats avec le secteur privé.

Parmi les résultats intermédiaires escomptés de ce projet : 1) portée et durabilité accrues des résultats des partenaires locaux pour offrir des programmes d’autonomisation et des programmes économiques à des femmes et des jeunes sans emploi ou sous-employés; 2) participation et leadership accrus des femmes et des jeunes sans emploi ou sous-employés dans le développement social et économique de leur collectivité locale.

Parmi les résultats atteints jusqu’en mars 2019 : 1) le projet a permis à 485 jeunes dirigeants (255 femmes et 230 hommes) d’acquérir les connaissances et les compétences et d’obtenir le soutien nécessaires pour aider à outiller leur collectivité sur le plan économique et à y déployer des programmes de renforcement des compétences numériques; 2) le projet a touché 50 635 jeunes (26 820 femmes et 23 815 hommes) dans des collectivités du Ghana, de la Jordanie, du Kenya, du Malawi, du Rwanda, de la Tanzanie et de la Zambie; 3) 5 421 jeunes se sont inscrits à des plateformes numériques et à des groupes de mobilisation numériques du Digital Opportunity Trust; 4) 103 nouveaux partenariats ont été établi avec un large éventail de partenaires, dont le gouvernement, la société civile et le secteur privé, et les programmes se sont étendus dans les pays participants ainsi que dans quatre nouveaux pays : Ghana, Jordanie, Malawi et Zambie. La création d’un solide écosystème de partenaires, grâce auquel les ressources et l’expertise d’une diversité d’intervenants peuvent être mises à profit, contribue à renforcer la portée du projet (harmonisation avec les priorités nationales) et sa durabilité (prise en charge et participation à l’échelle locale).

• Divulgation proactive