Profil de projet — Son avenir, son choix : Renforcer la santé et les droits sexuels et reproductifs des jeunes femmes

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Description

Ce projet vise à aider les adolescentes et les jeunes femmes pauvres et vulnérables dans des communautés ciblées de l’Éthiopie, du Malawi, du Mozambique et de la Zambie à être mieux informées sur leur santé et leurs droits sexuels et reproductifs (SDSR) et à y accéder. Parmi les objectifs du projet : 1) donner aux adolescentes et aux jeunes femmes le pouvoir d’exiger l’accès à des informations et des services complets en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) afin qu’elles puissent faire des choix pour elles-mêmes; 2) améliorer la qualité de l’information et des services en matière de SSR; 3) renforcer la capacité des organisations de défense des droits des femmes et des jeunes à plaider en faveur de politiques et de ressources qui soutiennent la SDSR; 4) faire la promotion de la mobilisation et du militantisme des jeunes Canadiens et Canadiennes, y compris ceux du Nord canadien, au moyen de campagnes d’échange de connaissances sur les enjeux mondiaux de la SDSR. Les activités du projet comprennent : 1) inciter les communautés à comprendre et à transformer les normes sociales discriminatoires, en particulier la violence sexuelle et sexiste à l'égard des adolescentes et des jeunes femmes; 2) renforcer les systèmes de santé pour fournir des services complets de SSR, y compris la planification familiale, les contraceptifs et l'avortement sûr et légal; 3) renforcer les capacités des organisations locales et canadiennes de défense des droits des femmes et des organisations de jeunes pour promouvoir un changement des politiques et pratiques de SSRD. Le projet devrait permettre de former 596 agents de santé (dont 367 femmes) et 1 000 personnes-ressources communautaires à l’information et à la prestation de services complets en matière de SSR et d’atteindre 250 000 femmes et adolescentes (dont 80 % sont des adolescentes et des jeunes femmes) et 90 000 hommes (y compris des jeunes), grâce à une amélioration de l’information et des services de santé sexuelle et reproductive. Il touche également indirectement environ 800 000 personnes (dont 51 % sont des femmes).

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